Capable de produire jusqu’à deux fois plus d’énergie que les éoliennes terrestres, les éoliennes en mer ou éoliennes offshores ont un vaste potentiel qui est, encore aujourd’hui, peu exploité par les grands acteurs du secteur. D’après certaines hypothèses, 11,3% de l’électricité produite en Europe d’ici à 2030 pourrait provenir de cette source d’énergie, il est donc probable que ce potentiel, jusqu’alors peu exploité le soit de façon grandissante durant la prochaine décennie.
ENGIE, pionnier de l’éolien offshore
Déjà impliqué dans 25 projets éolien offshore et premier producteur français d’éoliennes terrestres, ENGIE a été choisi par l’Etat Français pour développer, installer et exploiter avec l’aide de ses partenaires, deux parcs éoliens en mer, situés au large des Iles d’Yeu, de Noirmoutier et de Dieppe Le Tréport. Projet longtemps controversé, le gouvernement a finalement donné son feu vert le mardi 6 novembre permettant ainsi l’exploitation des sites pouvant fournir une puissance de 496 MW chacun, générée par un total de 62 éoliennes. Cette production, permettra à elle seule, de fournir en électricité verte 790 000 personnes, soit plus que la population de la Vendée, région dans laquelle les sites seront implantés. Fruit d’un investissement de 2 milliards d’euros, les sites devraient être opérationnels à partir de 2021 pour une durée de 25 ans.
Aussi impliqué dans un autre projet en Mer du Nord via sa filiale ENGIE Electrabel, le groupe fournira de l’électricité verte à 286 000 ménages grâce à un parc de 27 à 46 éoliennes qui devrait voir le jour en 2020. Enfin, ce projet, aussi appelé projet Mermaid, permettra de réduire de 367 000 tonnes les émissions de CO2 chaque année.
Ces deux projets, ainsi que les nombreux projets que l’entreprise a en cours démontrent une fois de plus la volonté d’ENGIE de respecter ses engagements en terme de transition énergétique, mais aussi d’être un acteur majeur dans la production d’énergie verte.
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